Comment prévenir le risque suicidaire chez les médecins ?

Comment prévenir le risque suicidaire chez les médecins ?

Questionnaire

Une étudiante en médecine générale a choisi de se pencher sur les différents outils de prévention du risque suicidaire chez les médecins pour sa thèse d’exercice. Et elle a besoin de vous.

Il n’y a pas de source officielle concernant le nombre de suicide parmi les étudiants en médecine et les médecins. Mais en se fiant à son expérience personnelle, Barbara Lantier, étudiante en médecine générale à Nice, est encline à le penser plus élevé dans le nord du pays que dans le sud.

“J’ai commencé mes études de médecine dans le Nord, et là-bas il se passait pas un mois sans que j’entende parler d’un étudiant ou d’un médecin qui avait essayé de se suicider”, raconte-t-elle à Jeunes Médecins. “Mais quand je suis arrivée à Nice, j’ai réalisé que la question du suicide était, au contraire, complètement absente”.

D’où le titre de sa thèse d’exercice : "Suicide des Externes / Internes / Docteurs en Médecine en France, entre 2007 et 2017 : un gradient Nord-Sud ?”.

Des outils de prévention


Reste que dans le nord comme dans le sud du pays, la jeune femme n’a pas bénéficié d’une “parole institutionnelle” sur la question du suicide, ni eu connaissance d’éventuels outils de prévention. Elle a donc décidé de diffuser un questionnaire sur ces outils à l’intention des chefs de clinique assistants des régions suivantes : Auvergne-Rhône-Alpes, Bretagne, Grand Est, Hauts-de-France, Île-de-France, Nouvelle-Aquitaine, Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Vous pouvez le remplir ici.

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